Les plus belles aventures sont celles que l’on partage

L’Antarctique, c’était il y a un mois déjà… Je me sens bizarre d’être rendu à raconter ce grand moment de ma vie. Cette dernière a passé à une vitesse grand V depuis mon retour.

Effectuer le montage des images que j’ai tournées durant mon expédition fut un vrai délice. J’ai eu un réel plaisir à me revoir dans des froids extrêmes alors que j’étais bien au chaud à la maison. Cette expédition a été parfaite même dans ses imperfections. J’ai là un magnifique récit à vous présenter.

Attendez-vous à une conférence dynamisante ainsi qu’à plusieurs surprises. Sur ce point, nous avons la chance d’avoir de merveilleux prix de présence.

Réservez rapidement vos billets. Certaines salles affichent déjà complet alors que dans d’autres, il ne reste que quelques places.

J’ai hâte de vous voir!

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Image : Collège Letendre

10 réponses à “Les plus belles aventures sont celles que l’on partage

Bonjour Frédéric,

Félicitations d’avoir le courage et la volonté de vivre tes rêves. Je dois t’avouer que je t’envie de vivre ta vie au maximum tout en ayant une femme et des enfants.

Mon garçon et moi sommes entrain de lire ton livre « Antarctique Solo ». Nous avons été surpris comme j’imagine que tu l’as été toi aussi de voir apparaître la première fracture à ton traineau après seulement 7 jours. Tu décris bien les sasturgi et nous imaginons le défi qu’elles représentent pour toi et ton traineau. Par contre, nous aimerions que tu élabores de façon un peu plus technique sur ce qui t’as convaicu que Pulkayak était le meilleur choix. Aujourd’hui avec la fibre de carbone et tous les matériaux exotiques que nous disposons, est-ce que l’aspect monétaire fût un élément qui t’as contraint à faire ce choix?

Merci de partager cette aventure avec nous.

Bonjour Martin!

Disons que l’aspect monétaire était seulement un facteur. J’en parle plus en conférence. J’ai fait beaucoup de test avant de choisir le matériel et la forme de mon traîneau. Le plastique semblait être la meilleure option. Deux autres facteurs ont joués contre mon choix : le froid et les sastrugis. Ayant été beaucoup plus rapide que prévu, je suis arrivé sur le plateau, en altitude tôt dans une saison très froide. Normalement il fait -30c. J’ai eu du -45c. Le plastique est plus fragile au froid. Aussi, les sastrugis étaient monstrueusement plus gros que je l’imaginais. Mon deuxième traîneau était mieux adapté. J’ai beaucoup appris de cette expérience…

Bonjour Frédéric,

Merci pour ta conférence et tes conseils. Pour ma part, ce que je retiens est le mot « inspirer ». C’est vrai qu’on peut avoir tendance à nous oublier en tant que parents pour le bénéfice de nos enfants. Par contre, je comprends maintenant qu’on doit prêcher par l’exemple et succiter cette inspiration.

Merci encore et bon voyage aux pays des Maoris!

Bonjour Frédéric,
J’ai lu avec attention un article de La Presse, qui fait un peu le tour de ton expédition en Antarctique. Dans l’article, il est mentionné que ce que tu as trouvé le plus dur, c’est d’être éloigné de ta conjointe et de tes enfants.
Ma question est la suivante: si tu trouves ça si dur, pourquoi t’en aller? En plus, à la fin de l’article, tu mentionnes que ta plus grande aventure, c’est celle d’être papa??? Pourquoi troquer ta plus « grande aventure » pour une plus « petite »? Je suis un passionné de plein-air mais je trouve que ce n’est pas possible de combiner l’aventure et les enfants. Comment fais-tu?

Bonjour Mathieu,

Merci pour ta question. Bien des gens aimeraient poser cette question mais, ils n’osent pas.

Avoir des enfants est ma plus grande aventure et mon plus grand rêve, mais j’ai d’autres rêves. L’Antarctique pour moi, c’était un désire profond qui entrait en compétition avec mon besoin de vivre chaque seconde de ma vie avec celles que j’aime (mes filles, ma femme). À partir du moment où ma femme et mes filles m’appuyaient à 100 % dans mon rêve, celui-ci est devenu possible.

Pourquoi partir? Parce que je sais que peut importe ce que je dirai à mes filles pour les orienter, les guider dans leurs vies, ce qui aura le plus d’impact c’est l’exemple que je leur donnerai. Donc, si je veux comme tous parents aimants que mes enfants vivent des passions, réalisent des rêves, ça passe d’abord par la réalisation de mes propres rêves. Je vois ma vie en trois pôles : ma famille, mon couple et moi. C’est l’équilibre entre ceux-ci qui crée une balance dans ma vie.

La prochaine aventure sera en famille!

Bonjour Frédéric,

Je ne vais pas te demander de répondre à la « question qui tue », c’est-à-dire: Que ce serait-il passé si ta femme et tes filles ne t’auraient pas supportées dans tes projets? 🙂

Par contre, ce que je peux dire, c’est que vraisemblablement tu sembles avoir une conjointe très compréhensive et consciente que tu as de tels besoins, soit de liberté, de défis et de dépassement. Ce n’est pas tout le monde qui accepterait de s’occuper des enfants à 100% pendant que son conjoint(e) vit une si belle aventure! Je crois qu’en bout de ligne, si j’avais à aller de nouveau à une de tes conferences, j’aurais probablement autant de questions pour elle! 🙂

Une idée de votre prochaine aventure en famille?

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