Avez-vous « Osé « ?

Dans ce blogue, j’étais à la recherche d’histoires inspirantes. Je vous demandais de me raconter une fois où vous avez osé dans votre vie et que cela vous a rapporté gros. L’histoire la plus inspirante a gagné un magnifique sac au dos Kestrel de Osprey d’une valeur de 200$. Il s’agit de l’aventure de William Tardif. Le juré était composé de Caroline Mailhot, Christophe Ostéo, Carl Bouliane, Sébastien Dion et Marianne Larin.

Osez l’aventure! Passez à l’action!

 

 

 

J’espère que ces histoires pourront aussi vous inspirer. Bonne lecture!

30 réponses à “Avez-vous « Osé « ?

L’aventure que j’ai osée!
En 2003, je cherchais un emploi et j’ai offert mes services pour un poste aux Territoires du Nord-Ouest, à Yellowknife. On me l’a offert et hop au Nord, presque 6,000 KM éloigné de la petite et grande famille et de mon Québec connu.
La vie en haut du 62e parallèle… La géographie humaine et physique sont toutes différentes.
Une population autochtone en grands changements et en état de stress important de la vie moderne qui arrive comme trop vite. Des problèmes sociaux multipliés par 2, ou par 5 ou par
10 en gravité et en quantité. Les dominantes: alcool, violence, tabagisme, drogues, …
Et la minorité francophone isolée, 1400 membres sur une population totale de 43,000. Un historique de non respect de leurs droits linguistiques en terme de communications et services, des organismes communautaires en croissance et résilients, mais… fragiles.
L’hiver plus long, plus froid, plus noir. La glace plus épaisse, le temps plus sec, les animaux sauvages plus proches, la première ville importante à deux jours de route.
Mais… des roches vielles et arrondies de plusieurs milliards d’année, foulées jadis par un kilomètre de glaces; une forêt qui s’estompe à mesure qu’on monte vers le haut de la coupole; les épinettes aux branches courtes et aux fibres tissées serrées puisqu’elles mettent des décennies à grandir par manque de nutriments et agrippées souvent au roc.

Et que dire des lacs et de leurs poissons et des aurorres boréales magnifiques et des corbeaux intelligents, et des fourrures magnifiques …
ET de ces survivants à des conditions climatiques extrêmes et qui sont plus au Nord, et je parle des Inuits, et dont les sourires sont si doux et francs et gratuits… et leurs yeux qui demeurent éblouis par leurs 24 heures de soleil pendant les longues journées de juillet.

Je m’ennuyais d’abord de nos magnifiques forêts québecoises et de notre nature si généreuse. Mais j’ai appris à aimer ce Nord à l’apparence plus rugueux, à ces gens habitués à accueillir l’étranger.

Et ces concitoyens du Nord qui, très généralement ont accepté isolement, distance, changements nombreux à un environnement nouveau à maints égards. Ils ont l’occasion de contribuer à mettre l’épaule à la roue dans ce monde à bâtir et le plaisir de s’essayer puisque les ressources sont limitées et la compétition est rare! Des fonceurs, des courageux, des personnes confiantes en la vie, des gens qui ont le plaisir de voir autre chose, d’en apprendre et de repartir avec des rêves réalisés…
J’y suis resté presque 8 ans et j’ai le plaisir d’avoir réalisé des expériences extraordinaires!

Léo-Paul Provencher

Dans la vie, on traverse toutes les montagnes, aussi hautes soient-elles! Lorsque j’avais 22 ans, j’ai décidé de ne pas me faire avorter et de demeurer dans ma ville natale malgré l’opposition des parents (j’étais fille-mère). Ma fille a aujourd’hui 39 ans et c’est mon trésor le plus cher et admiré. 3 semaines après l’accouchement, j’ai fait une pancréatite aigüe donc 3 semaines aux soins intensifs, branchée de partout et coma de 3 jours où je suis littéralement morte (que personne n’ait peur de la mort, c’est très beau au contraire). J’ai fait le choix de revenir car cette petite avait besoin de sa maman. Il y a 12 ans, j’ai fait un burnout très sévère suivi de fibromyalgie, douleurs chroniques qui m’empèchaient de marcher pour des journées entières, opération pour double hernie discale, vertèbres cervicaux écrasés et 4 ans sur la morphine pour des douleurs physiques atroces et 10 ans avec une canne. J’ai arrêté la morphine du jour au lendemain car la dose augmentait mensuellement et je me suis prise en main avec l’aide de la méditation. Il faut ajouter que j’ai subi deux interventions chirurgicales au poignet droit donc, je ne pouvais plus utiliser la canne en question. En janvier 2011, j’ai fait une liste  »bucket list ». La liste comportait deux éléments principaux: je m’achèterais une moto après 40 ans de non conduite et je sauterais en parachute. C’est fait! J’ai cessé de tomber avec la moto et le saut libre en parachute fut extraordinaire et je serais remontée pour un autre immédiatement. Mes médecins me trouvent dangereuse pour mon propre corps car j’ai coupé le lien cérébral qui dit  »douleurs physiques ». Maintenant il y a d’autres problèmes dont insuffisance rénale, apnée du sommeil, et autres. Je pense sincèrement qu’il y aura d’autres montagnes à traverser mais je prête et le tatou  »courage » sur mon avant-bras gauche m’aide psychologiquement. Personne ne peut deviner si j’ai mal car je souris à tous (toutes) tout le temps. Essayez de sourire aux étrangers que vous rencontrez et vous verrez qu’ils vous le rendront! Il faut toujours se dire qu’il y a des personnes qui vivent des moments plus douloureux ou pires que les nôtres!!! Profitez de chaque instant, le passé ne reviendra jamais alors aussi bien l’oublier et demain, vous ne serez peut-être plus là!

Bonjour, voici en détail mon expérience au dernier demi-marathon de Montréal. Le texte a été écrit le lendemain de l’événement.

Le sentiment du devoir accompli!

Lundi, 26 septembre, mes pieds ne supportent plus mon poids, mes mollets font tellement mal que j’ai de la difficulté à rester debout. Toutefois, je peux maintenant dire mission accomplie! Jamais je n’aurais pensé réaliser ce défi il y a un an à peine.

Courir, courir et encore courir pendant 21,1 km au Marathon de Montréal … un demi-marathon de sueur et d’efforts, de sacrifices et d’endurance.

Tout a débuté l’hiver dernier alors que quelques-uns de mes collègues avaient pour projet de franchir les 21 ou 42 kilomètres les séparant de l’arrivée au parc Maisonneuve.

Pour moi, ce défi était impressionnant. N’ayant jamais couru pour la peine de toute ma vie, je me voyais difficilement au fil d’arrivée. Pourtant, j’ai embarqué dans le bateau et je ne le regrette pas du tout.

Je me rappelle très bien de ma première sortie, le 16 mars 2011, un premier vingt minutes où j’avais peine à trouver mon souffle. «Le plus dur c’est de commencer», me martelé-je dans ma tête.

Au départ, si l’orgueil et le désir de réussite étaient mes principales sources de motivation, il ne me fallut pas énormément de temps pour que le simple plaisir de courir en plein air prenne le dessus.

Des kilomètres et des kilomètres de pratique sur les différentes pistes cyclables du territoire à voir des endroits qu’en véhicule on passe tout droit sans en admirer la splendeur. Des avantages collatéraux si on peut le dire ainsi, car l’objectif final de 21,1 km était toujours dans le collimateur.

Le grand jour

Le 25 septembre 2011, c’est le grand jour. Stressé comme pas un, un petit début de rhume m’accompagnant, je me dirige vers la métropole avec ma maman, mon accompagnatrice de la journée, le départ est à 10 h 30. «Suis-je assez prêt? Vais-je faire un temps respectable?» Voilà les deux questions qui sont revenues le plus souvent.

Arrivé sur le site, je me dirige vers le «lapin» de 2 heures, un coureur dont la vitesse est constante. Je sais que ce ne sera pas facile et que mes jambes feront affreusement mal dans au plus tard deux heures … en tout cas, je l’espère!

Plus que quelques minutes avant le lancement de l’épreuve, pas moins de 7147 participants sont sur le pont Jacques-Cartier avec moi attendant avec impatience que le tout débute.

Ça y est, la course est lancée. De voir des milliers d’hommes et de femmes s’élançant pour ce qui est peut-être un des plus grands défis de leur vie, le sentiment est indescriptible. De plus, la vue est impressionnante et franchement grandiose, jamais je n’aurais pensé vivre ça.

Le départ

Dès mes premiers pas, je sais que ma préparation était la bonne. Je me sens bien, en contrôle de mon environnement, le «focus» est bon et la musique dans mes oreilles va à merveille avec tout ce qui m’entoure. Les dix premiers kilomètres passent excessivement vite, déjà je peux sentir l’appui de la foule sur les côtés de la rue. Plusieurs spectateurs encouragent parents et amis, mais ne se gênent pas pour supporter également les autres coureurs.

Plusieurs pensées me viennent en tête pendant la course, un demi-marathon, c’est long! On en apprend beaucoup sur soi-même pendant cet exercice.

17e kilomètre, oups! Je sens que les problèmes ne tarderont pas à surgir. Un de mes genoux commence à faiblir, je garde tout de même le rythme. La foule est de plus en plus nombreuse et ses cris de plus en plus forts. L’adrénaline est à son maximum, plus que quatre kilomètres.

19e kilomètre, là ça fait vraiment mal et je casse littéralement! Le rythme n’y est plus, mais je continue tout de même à courir. Je ne peux pas concevoir qu’après toutes les heures d’entrainement je vais commencer à marcher si près du but. Plus qu’un kilomètre, les spectateurs sont nombreux et près des coureurs. J’en ai encore des frissons. C’est comme si des milliers de mains me donnaient des poussées dans le dos pour me propulser vers la ligne d’arrivée.

Elle est là, je la vois. Enfin, l’objectif sera atteint! Après six mois de pratique, le sentiment est franchement fantastique!

21e kilomètre, la ligne est franchie, je regarde mon temps, wow! En plein dans le mille, 1 h 51 minutes et 45 secondes, un temps record ! Mission accomplie, voilà ce qui m’est immédiatement venu en tête. C’est avec fierté que je reçois ma médaille et me dis qu’elle ne sera sûrement pas la dernière.

Moi, le 2e janvier 2010 je pesais 210 lbs. Je me suis pris en main. J’ai commencé à faire des redressement assis et mieux manger. Le 11 juin 2010, j’ai commencé à courir un 5 km. A la fin août, j’ai fait un 1/2 marathon à Québec, suivi de Montréal, Bécancour et Sttiville (ouest d’Ottawa). Le 23 décembre 2010 , j’avais perdu 60 lbs. Le 29 mai 2011 après 11 mois et demi d’entraînement, j’ai fait mon 1er marathon au complet à Ottawa. Par la suite, j’ai fait celui de Montréal. Pour l’année 2010, j’ai fait 22 courses et en 2011, j’ai fait 26 courses, soit 2 marathons, 4 1/2 marathon, des 10km et 5 km. Depuis, je suis entré dans un club d’athlétisme (Énergie). Je cours à toute les semaines 50 km et plus. Présentement, je me prépare pour mon plus grand défi, soit qu’en janvier 2013, je vais faire le 1/2 marathon le samedi et le marathon le dimanche à Walt Disney. Je suis très fière de ma performance, car, je n’est jamais arrêter et je continue de garder la forme. De plus, ma conjointe m’a suivi dans mon périple et mes 2 enfants ( 6 ans et 10 ans ) qui cours aussi dans différentes courses et ils s’entraînent aussi. Le monde de mon entourage me dise qu’ils n’ont jamais cela dans leur vie (soit un changement drastique et un accomplissement que j’ai fait) et j’en suis extrêmement fière de moi, de ma conjointe et de mes enfants. En mai 2012, cela va être un autre marathon à Ottawa. Je me suis entraîner beaucoup cette pour que cette course soit ma meilleur à vie.

J’ai osé une aventure qui m’a mené et me mène toujous plus loin à chaque jour! Août 2009, c’est décidé, je ne suis plus capable de faire face à mes 235 lbs dans le miroir et je décide d’oser. Oser malgré des années de sédentarité, malgré des mauvaises habitudes, malgré moi. Semaine après semaine, jour après jour, heure après heure, je me replie sur ma tête de mule et je suis à la lettre le plan alimentaire que j’ai choisi. Un an plus tard, 100 lbs en moins j’entreprends un 2e défi: courir 5 km au Marathon de Montréal, avec 6 semaines de préparation. J’ai eu la piqûre! À ce jour, j’ai participé à 2 demi-marathon, 2 courses de 10km et je chemine vers mes 40 ans que je fêterai en faisant ni plus ni moins que le Marathon de Montréal (oui le 42,2km) en septembre 2013! L’aventure souvent c’est d’oser être soi-même!

laquelle tout le monde qui me connait dise que je pourrais faire quelque tome
cele de ma colonne en breve
a 35 ans je me suis cassé la colonne la vertebre sous celle du coeur
on croyais que je serais paralysée sous la taille on m’a mise un corsset avec des balaynes
en acier au bout d’une semaine je me suis lever de peine de misere je marchais avec une canne
le doc. me disais que jj’en fesais trop que je ne pouvais plus marcher comme avant
alors je me suis dis si je marche quand on me disait que je serais paralysé bien
je marcherai pas avec une canne j’ai des enfants et elles ne me servirai pas toute leures vie
j’ai trouver un quiroterapeutre qui croyais en son travail et en dieu a nous trois on s’en est
bien sortis aujourd’hui a 60 ans les médecin me regarde sans savoir quoi dire
et de 37ans a 60 ans j’ai repris lacanne que quelque fois dans des grosses crisses
merci de pouvoir vivre avec le mal mais pas seulement de vivre de marcher

Depuis que je suis petit, j’adore le plain air et la pêche, bref l’aventure. J’ai toujours rêver d’aller faire de la survie dans la foret et depuis que j’ai 9 ans, j’ai commencer à acquérir un équipement de camping (sleepinbag, lampe de poche, couteaux, sac à dos…) pour me préparer a enfin aller afronter la nature. Cet été, mon père a louer un chalet a magog. C’est cela qui ma décider, je suis aller en plein jour sur une grande île du lac et jai commencer a me fabriquer un abri pour y passer la nuit… à cause de ma petite fin de semaine dans le bois, c’est là que j’ai appris que c’était ma plus grande passion dans la vie, même, ma raison de vivre. Bien sûre, quand j’était petit, je savais que c’était ma passion (surtout la pêche) mais c’est a cause de cette éxpédition que j’ai vraiment réaliser l’importance de prendre le temps de vivre chaque moment qui nous tien a coeur, c’est a se moment que j’ai réaliser qu’on n’a qu’une seul vie à vivre et qu’il fallait la vivre à 100%. Mainetenant, j’ai plein de rêve en tête..monter l’everest, aller au costa rica…bref, je veux que ma vie soit pleine d’aventure et je veux plus que jamais suivre ma passion. La preuve, cette été, je me suis acheter un kayak de pêche et j’aimerais vraiment aller en excursion de pêche et camping avec.. une chose a la fois. dans trois jours, je vais faire une survie d’hiver dans le bois avec mon meilleur ami. J’ai tellement hâte.

voici un lien d’une photo d ma promière avnture sur l’île : ( sur facebook, il y a l’album complet ce cette aventure, adder moi : William Tardif) :

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*Une des seule pièce d’équipement qui me manque c’ets un bon sac à dos 😉 *

En 1992, presque personne ne croyait que mes amis Brigitte et Stéphane et moi pouvions aller à vélo de l’Alaska à la Terre de Feu. Brigitte et Stéphane l’ont fait. J’ai dû m’arrêter au Costa Rica, après 6 mois et 12 500 km. La déception de ne pas voir complété ce périple n’est rien comparée à ce que j’aurais ressenti si je n,étais pas parti.

Bonjour je m`appelle Denis ,en 2008 j`ai été victime d`un infarctus et un mois plus tard on m`a appris que j`étais atteint de la sclérose en plaques . Au lieu de me laisser aller ,j`ai décider que mon option etait de vivre pleinement. Donc en 2010 j`ai décidé de me mettre en forme et aller grimper le Kilimandjaro. A l`époque personne n`y croyais sauf moi. Apres 1 an d`entrainement et 60 lbs en moin, en Janvier 2011 je me tenais ,enfin,debout sur le plus haut sommet d`Afrique. Dans dix jours je vais aussi me rendre en Égypte pour affronter le désert du Sahara dans le but d`ammasser des fonds destines a la recherche sur cette maladie.
J`ai osé l`aventure et sans hésiter j`oserai encore et encore

Le jour où j’ai osé refaire du vélo. Je fus très sportive jusqu’au jour où ma vie a basculée. Un beau matin, j’ai été faire du vélo avec mon groupe de plein air étude. J’ai manqué de freins et j’ai percuté la roue d’un camion à ordures. Il a ensuite poursuivi sa trajectoire et m’a écrasé les jambes. Il y en aurait long à raconter… Aujourd’hui, je peux refaire du vélo et plein d’autres sports tels que l’escalade. Si je n’avais pas osé, je manquerais tout ce plaisir.

Fin 2007, je viens tout juste de commencer un nouveau mandat en tant que sous-traitant pour une multinationale, obtenant par le fait même une jolie augmentation de salaire d’au moins 30% par rapport à l’emploi que je quittais pour obtenir ce poste. Mon médecin m’annonce que l’état de l’hépatite C, que j’ai contractée par transfusion sanguine lors d’un accident de vélo étant encore enfant, s’est lentement détérioré et qu’il commencerait à être temps d’envisager un traitement. Mon état laisse encore un peu de répit, je pourrais me permettre d’attendre quelques années mais ce serait une très mauvaise idée de prolonger l’attente trop longtemps et le plus tôt serait le mieux. Malheureusement, le traitement entrainerait des effets secondaires importants comme une fatigue excessive, des douleurs pouvant ressembler à une grippe musculaire et très probablement la dépression. Ce traitement devrait normalement durer 50 semaines. De plus, il est fréquent que ce traitement nécessite l’arrêt de travail et les chances de succès sont estimées à seulement 35%… D’un autre côté, retarder le traitement pouvait possiblement laisser le temps à la médecine de trouver de nouvelles molécules qui entrainerait peut-être moins d’effets secondaires, un traitement plus court et de meilleures chances de succès.

Avec 2 enfants à nourrir et une maison acquise depuis seulement 3 ans, ce traitement, inévitable à long terme mais dont le résultat est incertain, devrait sûrement me coûter mon nouvel emploi si prometteur, en plus de brûler toutes nos économies. Après mûre réflexion, j’ai décidé d’entamer le traitement immédiatement. Après 3 ou 4 mois, je ne pouvais plus supporter la fatigue et j’ai effectivement dû quitter mon emploi. Fin 2008, j’apprends que le traitement a réussi mais suite à la crise économique, je me retrouve toujours sans emploi.

Maintenant, avec le recul, ce traitement a eu plusieurs impacts majeurs sur ma qualité de vie. Premièrement, j’ai la fierté d’avoir pu surmonter une grande épreuve. Ensuite, j’ai beaucoup plus d’énergie qu’avant et j’ai commencé un programme de mise en forme qui m’a permis de perdre plus de 60 lb. De plus, le fait de devoir faire une pause dans ma carrière m’a permis de prendre du recul face à ma situation et je suis retourné aux études pour me perfectionner, complétant mon baccalauréat et pousuivant maintenant mes études à la maîtrise. Je ne regretterai jamais ma décision qui a été si difficile à prendre!

Cette fois où j’ai osé l’aventure? Certainement lorsque je me suis levée un bon matin et que j’ai décidé que j’allais traverser le Canada à vélo en solitaire tout en y produisant des reportages télé quotidiennement… Une aventure humaine extraordinaire qui m’a permis de remettre 59 230$ à la Fondation pour les élèves de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke qui a comme objectif de favoriser la persévérance scolaire.
Il faut toujours osé l’aventure et ce, dans toutes les sphères de notre vie. Sans hésiter.
Mireille Roberge 😉

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